Agathe plaisance
Agathe, artiste multi-disciplinaire, originaire de Normandie et issue de l’école des Beaux Arts de Caen, écrit non seulement ses textes, compose ses chansons mais réalise aussi ses vidéos, ses pochettes et se produit sur scène en solo ou duo. Son univers minimaliste et sombre, aux racines folk, blues et pop-indé ne va pas sans rappeler des influences comme Cat Power, Michelle Gurvitch ou encore Soko
Explorer, rechercher. Partir en voyage. En ramener des fragments du réel bientôt transformés en chansons fracassantes, le songwriter Pierre Welsh a fait ça toute sa vie. Hanté par une certaine idée de la beauté, nourri d’auteurs russes comme de poésie américaine, ne se se montrant sur scène que de manière sporadique, Pierre Welsh manie le sombre et le sabre
Si vous aimez le son américain de la fin des 60’s, début des 70’s, le son chaud de Laurel Canyon et les chansons étincelantes du Brill Building, cet album est pour vous ! La voix de Brisa Roché et le piano érudit de Fred Fortuny y font des merveilles.
Emmanuel Tellier a écrit et composé un corpus de chansons et de musiques instrumentales formant la bande originale du film-documentaire « La Disparition d’Everett Ruess ».
Loin de se contenter d’accompagner le film, cette B.O. forme un véritable album à la beauté organique et vibrante.
Ella de loria
Ella de Loria est auteure-compositrice de chanson pop française. ‘Qui es-tu ?’ est son premier EP sous la formation Ella de Loria. Musicienne formée au conservatoire et issue d’un apprentissage passionné de musique concrète (Pierre Schaeffer), de piano (Erik Satie), et de guitare (Neil Young), elle prend la route de la folk américaine, inspirée par les voix de Joan Baez, Lhasa de Sela, Moriarty, Jim Morrison. Ella de Loria a joué en première partie de Bernard Lavilliers, Claudio Capéo, Corine, Hervé, ou encore Debout sur le Zinc.
oh!madrid
Une guitare sèche convoque les esprits de Dylan, de Stevie Nicks et de Cat Stevens. Deux voix s’entremêlent et semblent danser ensemble. Disent la douceur et la rage d’être vivants, de s’aimer, de voir du pays. La rencontre et l’émerveillement d’âmes qui se découvrent et qui s’aiment, s’attirent et s’apprivoisent. Dans la lumière et l’éclat de sentiments purs. L’intensité, l’amour au premier degré chargé de nos mélancolies passées, le blues de blessures palpitantes sous les cicatrices. L’innocence d’un avenir dont on retrouve la force dans la musique. Oh! Madrid, c’est tout ça. S’abandonner à chaque chanson comme à un frisson qui réchauffe. Une douceur qui apaise les démons.
Le son des STRAWBERRY SEAS est-il américain, australien, irlandais ? Il est tout ça à la fois. Il est minéral. Il est entier. Il est évident. Il est non négociable. Il est tel qu’il doit être, parce que quand ces cinq-là (en vérité français) se retrouvent dans la même pièce, c’est ce son-là qui sort : quelque chose de vaste et d’universel, quelque chose de beau, avec des montées dans les décibels qu’on déconseille à votre grand-mère.
Aleef sheen
Né en 1992 au Maroc, Aleef Sheen est auteur-compositeur-interprète et écrit de la poésie. Ses influences musicales brassent les classiques de la chanson française, du rock anglais, de la folk nord-américiane et différents styles musicaux de la rive et de la Méditerranée. Ecrites et composées sur la route, au fil d’années où il pose tour à tour son sac à Rabat, à Paris, au Caire et à Marseille, multipliant les groupes et les atmosphères, les chansons d’Aleef Sheen proposent un univers poétique onirique, minimal et retenu, où chaque mot et chaque note sont pesées pour ne pas peser.
Matthew Edwards aime déplacer les frontières. En 2012, cet Anglais alors expatrié à San Francisco, publie The Fates le premier album de ses Unfortunates. En 2015, de retour dans sa Birmingham natale, Matthew Edwards enregistre Folklore produit par John Rivers (Felt, Dead Can Dance). C’est aujourd’hui à Paris qu’il publie son nouvel album The Birmingham Poets…
Fascination pour les compositions ambitieuses, attachement profond à l’art du songwriting, volonté de mettre en musique une palette d’émotions allant de la mélancolie assumée à l’euphorie contagieuse, les chansons d’Orouni font la part belle aux mélodies vocales et instrumentales, aux harmonies complexes et à des instruments peu utilisés dans la pop contemporaine.
Avec son quatrième album, Partitions, Orouni place son ambition encore un cran plus haut, sans transiger sur le plaisir ni l’émotion.
Qu’attendre d’un musicien qui sait tout faire ? Quel peut être, pour lui, le geste juste, celui qui fait vraiment sens ? Où peut être le défi, l’aventure la plus exaltante ? Réponse : dans la recherche du simple, du beau. Dans la quête d’un minimalisme apaisé, qui serait tout l’inverse d’une mise en retrait : la mélodie d‘un piano à peine effleuré, le minéral, le son des grands espaces, tout un cinéma mental et onirique qui vibre en lui depuis longtemps. Cet homme s’appelle Christophe Menassier, et son nouvel album : The Unknown Movie.